Médiation
La médiation est un mode alternatif de résolution des conflits (MARC) qui est reconnu par le droit suisse. Dans les procédures en droit de la famille où des enfants sont impliqués, le Code de procédure civile suisse prévoit même la gratuité (article 218 CPC).
Aurélie Cornamusaz est titulaire du titre de « Médiatrice FSA », qui est attribué aux seuls membres de la Fédération Suisse des Avocats (FSA) ayant achevé avec succès une formation complémentaire en médiation orientée sur la pratique.
Alors que le système judiciaire impose aux parties une solution – décidée par un juge – la médiation a l’avantage de mettre en relation les parties afin de les amener à trouver ensemble une solution à leur litige.
Contrairement au juge, le médiateur n’est pas là pour imposer son autorité, mais pour offrir un cadre sécurisant aux parties ; celles-ci vivent souvent dans un climat très tendu, voire ne se parlent plus, et il est important qu’elles se sentent à l’aise. Elles pourront alors commencer à construire leur avenir, d’un commun accord et de manière responsable.
Un avocat médiateur a pour avantage de bien connaître les limites de la loi dans la rédaction d’accords à l’amiable.
La médiation est de plus en plus favorisée par le législateur et les protections juridiques en raison de son efficacité, de sa rapidité et de son coût avantageux.
Last but not least, il est plus facile pour les parties d’aller de l’avant avec une convention à laquelle elles ont activement participé qu’avec une décision prise par un juge à l’issue d’une audience.
Ainsi, la médiation est particulièrement adéquate dans les litiges suivants :
- Droit de la famille (séparation, divorce, succession)
- Droit du voisinage
- Droit du travail
- Droit commercial
Si vous souhaitez tenter de résoudre le conflit qui vous occupe par une médiation, Aurélie Cornamusaz se tient volontiers à votre disposition.
La médiation, c’est l’art d’une création en commun. Tous les participants sont des artistes, au moins trois, qui investissent la créativité de leur être.
Prof. Joseph Duss-von Werdt